La Nouvelle-Zélande, on l’aime pour ses paysages fabuleux qu’offre une nature souvent intacte, ses truites énormes qui nagent dans des rivières cristallines…

 

 

C’est aussi un pays où les gens nous sourient et engagent la conversation au comptoir d’un pub enfumé. Une atmosphère unique y règne, qui fait la juste part entre grands espaces et convivialité, qui fait que l’on se sente chez soit à l’autre bout du monde.

C’est des souvenirs plein la tête, des photos bien sûr, et une envie d’y retourner (voir l’article Nouvelle-Zélande 2013) pour ceux qui n’y sont pas déjà allé.

 
 

L’île du Sud

 
 

Une superbe rivière cristalline peuplée de truites à son image.

 
 
 
 

Une belle fario prise en sèche à vue dans une petite rivière de montagne.

 
 
 
 

C’est de plus en plus profond et la truite ne veut pas se rendre.

 
 
 
 

Mouillé pour mouillé… La température ne le décourage pas, il tient à sa truite.

 
 
 
 

La housse du sac le transforme en très bon radeau pour les traversées humides.

 
 
 
 

Difficile de trouver un emplacement dans cette végétation luxuriante. Enfin nous trouvons ce petit coin de paradis. Les sandflies par milliers participent à la fête.

 
 
 
 

Jolie fario de 75 cm en sèche.

 
 
 
 

Si l’on ne pêche qu’à vue en Nouvelle-Zélande, ce n’est pas par snobisme… Une 70+ postée juste sous la surface et loupée au ferrage.

 
 
 
 

Une rivière de type spring creek, qui fut pêchable à vue malgré les fortes pluies des jours précédents.

 
 
 
 

Grosse fario de 4 kg prise en sèche à la nuit tombée.

 
 
 
 

C’est plus par curiosité que par conviction que je pose ma sèche dans ce minuscule affluent…

 
 
 
 

…et c’est avec étonnement que je vois une fario de 60 cm sortir d’une sous-berge et gober tranquillement ma mouche.

 
 
 
 

Après seulement 5 minutes d’entrainement dans l’herbe, Julia prend sa première truite dans la Mataura.

 
 
 
 

Cuisson du pain, dont la pâte est roulée autour d’un bâton, directement sur la flamme : délicieux et pas de vaisselle !

 
 
 
 

Milford Sound ou les fjords de Nouvelle-Zélande. Extrêmement touristique mais le paysage offert par ces hautes montagne plongeant directement dans la mer vaut le détour.

 
 
 
 

La bosse derrière la tête est caractéristique des grosses farios.

 
 
 
 

Une rivière de moyenne montagne parfaite pour la sèche à vue.

 
 
 
 

Fario grasse prise à vue sur un parachute.

 
 
 
 

Lors des chaudes journées, c’est l’heure où les premiers gobages font leur apparition.

 
 
 
 

La fin du rapide, en tête de pool, habrite de belles truites qu’il faut aller chercher avec des nymphes très plombées.

 
 
 
 

Cette grosse fario était postée sur une gravière et goba ma sèche au premier passage.

 
 
 
 

Spring creek délicat à pêcher en raison de la hauteur des berges.

 
 
 
 

Avec une gueule comme celle-là il faut compter compter deux bonnes secondes entre le gobage et le ferrage.

 
 
 
 

Il faut marcher entre chaque poisson, un effort récompensé par la taille de ceux-ci.

 
 
 
 

En sèche à vue sur un parachute brun, une mouche rarement refusée par les farios locales.

 
 
 
 

Sa grande soeur, en excellente condition physique, dévalla plusieurs pools avant de se rendre.

 
 
 
 

 

Il aura fallu descendre en diamètre et en taille de nymphe pour décider cette truite.

 
 
 
 

La nymphe à vue sur les gravière est un régal.

 
 
 
 

La petite tête de cette fario de 65 cm laisse penser qu’elle est bien loin d’avoir terminée sa croissance.

 
 
 
 

Au nord de l’île du Sud.

 
 
 
 

Une fario claire de 60 cm typique des torrents glaciaires.

 
 
 
 

Le lotion anti-moustiques qu’il FAUT avoir si l’on ne veut pas devenir fou sous les assauts des sandflies.

 
 
 
 

Un torrent de la West Coast

 
 
 
 

Grosse rivière de la West Coast.

 
 
 
 

Le camping sauvage est toléré partout à condition de faire son feu dans les foyers existants. Il ne nous est jamais arrivé de nous faire expulser par un paysans en colère, comme cela arrive immanquablement en France…

 
 
 
 

La douche du campeur.

 
 
 
 

Il est possible d’observer des pingouins et des otaries sur la Côte Ouest.

 
 
 
 

Un grand lac comme en compte beaucoup la Nouvelle-Zélande.

 
 
 
 

Les cicadas peuvent provoquer de violents gobages lors de retombées sur l’eau. Il est bon d’en posséder quelques-unes dans sa boite, ainsi que des souris.

 
 
 
 

Fario colorée de la Grey River.

 
 
 
 

Le nord de la Côte Ouest et ses falaises érodées par la mer.

 
 
 
 

Une résurgence à Pupu Spring, rivière sacrée pour les Maori.

 
 
 
 

Cette fario de 75 cm reprend ses esprits avant de rejoindre le fond du pool d’un coup de caudale.

 
 
 

L’île du Nord

Après le Sud, le Nord, pour deux mois consacrés principalement à la découverte des spots de surf de l’île. Des conditions de vagues médiocres mais de beaux paysages et des locaux sympas et accueillants.

 
 
 

Devinette: Peut-on caser cinq personnes et leurs affaires dans cette voiture?

 
 
 
 

Et voilà le travail !

 
 
 
 

Une fario du célèbre Tongariro, la rivière qui se jette dans le lac Taupo.

 

 
 

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